Le régime tyrannique du Parti démocratique gabonais (PDG), poursuit son escalade répressive contre la presse nationale et internationale à l’approche du scrutin présidentiel du 26 août 2023.
Plusieurs journalistes étrangers ont été empêchés par le gouvernement d’entrer au Gabon quelques jours seulement avant la présidentielle, alors que pour la première fois de son histoire politique depuis l’avènement de la démocratie, le Gabon va organiser trois scrutins sans l’implication des observateurs internationaux.
Depuis le début de la semaine, sept Journalistes de la presse étrangère ont été empêchés d’exercer leur métier en territoire gabonais.
A son arrivée au pouvoir en 2009, le président gabonais Ali Bongo Ondimba faisait savoir, à mots à peine voilés, qu’il souhaitait choisir ses journalistes et cela a été fait du moment où le locataire du palais du bord de mer a embrigadé la presse publique nationale uniquement pour ses activités.