Selon les résultats d’une étude récente réalisée par un groupe de géopoliticiens gabonais, « Ils sont abondants au Gabon ces clandestins envahisseurs. D’où viennent-ils et qui sont-ils ? Les plus nombreux sont des sans papiers Ouest-africains et, parmi ceux-ci, des Sénégalais, Maliens,… Et surtout des Béninois qui ont, au Gabon, reconstitué l’Afrique de l’Ouest et tentent de prendre tout le pays en otage en occupant des postes de responsabilité et tout ceci, avec la complicité cruelle d’un groupuscule de Gabonais. Des localités entières sont totalement Ouest-africaine avec mosquée et marché, comme à Mont-Bouet, certains quartiers et grand carrefours comme le « Carrefour Assan », sont attribués illégalement à cette caste étrangères. »
Les Nigérians et Ghanéens sont, eux aussi, nombreux, dont certains sont spécialisés dans le trafic de toute sorte de drogue et tout ce qui concerne le faux et usage de faux notamment la falsification de faux documents sans être inquiétés par la justice gabonaise. Les Libanais, plus discrets, n’en sont pas moins très présents.
La majorité de ceux restés en Afrique de l’Ouest, des jeunes, se préparent à émigrer au Gabon où ils retrouveront parents, amis et connaissances. L’Afrique de l’Ouest envoie, depuis longtemps de forts contingents de jeunes et de vieux venus de différents pays oust-africains. Le Cameroun voisin se place bien, lui aussi et surtout dans l’envoi de jeunes filles prostituées.
La République centrafricaine qui fut l’empire de l’empereur Bokassa ayant une population peu évoluée garde l’essentiel de ses habitants qui s’entretuent allègrement, avec maintenant la participation de groupes russes militaires armés envoyés par Moscou, dont on se demande ce qu’ils viennent faire dans ce « merdier ».
Des enfants passent ainsi la journée, par tous les temps, à mendier sur nos trottoirs salopant notre environnement sans que les pouvoirs publics ne disent un seul mot. Mais quand nos mamans vendeuses essayent un moment de placer leur marchandises sur les mêmes trottoirs pour subvenir aux besoins familiaux, fort est de constater la vive allure des roitelets à la solde du pouvoir illégitime et incompétent.
Avec une telle situation, qui s’est créée peu à peu depuis 1970, comment voulez-vous que le Gabon reste le Gabon ? Le mal est fait et il restera difficilement irréversible.