La police judiciaire gabonaise souillée par sa très mauvaise réputation, vient encore une fois de plus récidiver sa posture de criminalité. En utilisant la torture barbare sur un jeune homme pour obtenir la vérité sur un fait d’investigation, elle vient encore une fois de plus, enregistrer dans la longue liste de ses crimes odieux un mort.
Un jeune homme se prénommant Steven et habitant le quartier commercial de Moanda a trouvé la mort dans des circonstances atroces à au commissariat de Mounana dans la province du Haut Ogooué.
Après avoir subtiliser la somme de 516000 Francs CFA à sa maitresse, logée par son concubin à la cité cadres de l’ex Compagnie des mines d’uranium de Franceville (COMUF), Steeven s’est fait arrêter par les éléments de la Police judiciaire du commissariat de Mounana suite à une plainte déposée dans les locaux de leur administration.
N’ayant pas trouvé la somme volée après une fouille au domicile du présumé voleur, énervés le commissaire de police de Mounana et ses trois éléments vont menotter le jeune homme aux pieds et aux mains et le laisser seul à l’arrière d’un pickup sous un soleil ardent, se sentant menacé et étant innocent le défunt Steven va sauter du véhicule roulant, malheureusement étant menotté aux pieds et aux mains il va être traîné sur plus d’un kilomètre par le véhicule de police et finira par décéder dans des conditions atroces sous le regard amusé du commissaire de Mounana et de trois de ses agents qui n’ont rien fait pour le sauver la victime.
Aux dernières nouvelles le commissaire, ses trois éléments et la plaignante étaient aux arrêts au commissariat de Moanda et attendaient d’être présentés devant le procureur de la République auprès du tribunal de Franceville pour répondre de cet assassinat volontaire.